Secondo me l'importante è non chiamarsi.
"En ces temps où le mariage décline, où un couple sur deux n’officialise pas son union, quel mot peut donc employer une femme n’ayant pas convolé pour désigner le mâle qui partage sa vie ? [Pour que les savants comprennent : une fois posé ce signifié, quel signifiant ?]
“Avant”, tout était d’une simplicité biblique : fiancé, promis, voire futur, puis quand l’union avait été consommée : mari, époux ou conjoint. Et maintenant : copain ? assez familier (”terme de collège”, dit le Littré) ; compagnon, ami ? trop polysémiques pour être pertinents ; concubin ? administratif et notarial, même si assez plaisant ; moitié ? asexué ; chéri, amoureux ? plutôt mièvres ; gonze ? désuet et limite péjoratif ; julot (avec sa variante, jules – notez l’absence de majuscule) ? cela sent trop son protecteur (même remarque pour mec, type, gus).
Le vocabulaire étant décidément en retard sur les mœurs, tenons-nous-en aux valeurs sûres : homme*, dans la treizième acception (sur vingt-sept) que le Littré donne de ce mot, sens jugé “populaire”, peut-être parce que le lien charnel y est sous-jacent ? C’est par les sens qu’on tient les hommes".
* Comme dans le fameux “C’est mon homme”, chanté notamment par Mistinguett et Arletty.
le treizième sens , Langue Sauce Piquante, 6 febbraio 2006.
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