"Personne ne pensait à l'argent. On menait une vie de l'esprit, on lisait de la poésie… Vu de l'autre côté du rideau de fer, c'est difficile à comprendre, car le régime était dur. Mais l'URSS était un endroit spécial où on se sentait bien."
Et lorsque le régime tombe, son plaisir est réel, mais mitigé. Il cite : "Face à cet événement, celui qui n'est pas triste n'a pas d'âme, celui qui n'est pas heureux n'a pas de cerveau."
La Russie absurde de Maximishin, Claire Guillot, Le Monde, 7 settembre 2007
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